Initiative pour le développement de la main-d'oeuvre

Pour une main-d’œuvre capable de surmonter tous les défis

La Commission appuie la création d’une main-d'œuvre hautement qualifiée, diversifiée et polyvalente. Elle souhaite ainsi répondre aux besoins actuels et futurs des secteurs laitiers de la production et de la transformation. L’Initiative pour le développement de la main-d'œuvre encourage la productivité, la concurrence et l’innovation en appuyant l’éducation et l’embauche d’une main-d'œuvre qualifiée. L’Initiative finance quatre programmes distincts voués à la fortification de la main-d’œuvre de l’industrie laitière.

Assemblées publiques annuelles

La Commission canadienne du lait tient une assemblée publique annuelle chaque année. Lors de l’assemblée, les membres de la haute direction présentent un survol des réalisations de la Commission des 12 mois précédents.

L’assemblée publique annuelle est en outre une occasion pour le public d’en apprendre davantage sur les activités de la Commission et de poser des questions aux membres de l'équipe de la haute direction.

Modifications prévues à la classe 4 (m) - le 1er février, 2021

OTTAWA, le 1er février, 2021

À compter du 1er février, 2021, la classe 4(m) est modifiée pour permettre aux transformateurs laitiers d’obtenir le prix associé au permis 4(m) pour le babeurre incorporé dans la poudre de lait écrémé fabriquée et vendue comme aliment pour animaux et pour y intégrer le babeurre liquide destinée au marché de l’alimentation animale dans la classe de lait 4(m) en tant que produit admissible relevant d’un permis, jusqu’à concurrence d’une certaine limite.

Cible nationale de production laitière au Canada pour l’année 2018

En octobre 2018, le Comité canadien de gestion des approvisionnements de lait (CCGAL) a adopté une méthode révisée pour calculer les besoins totaux et la cible nationale de production laitière (le quota total). L’ancien modèle pour calculer le quota total avait été conçu durant une période de croissance stable de 1-2 % et était fondé sur des besoins totaux d’une période mobile de 12 mois. Dans les dernières années, la croissance plus rapide de la demande en produits laitiers a provoqué un décalage entre les variations de la demande enregistrées et le calcul du quota.